Vendredi 13 mars 2020 : la véritable ampleur de Covid19 n’était pas apparente, mais une atmosphère étrange était palpable partout.
Alors que les salles de concert sont encore ouvertes en Angleterre, et que les rockeurs de toute l’Europe sont rassemblés sur Oxford Street à Londres, Vardis va jouer.
Pendant deux heures, le « 100 Club » s’est échappé d’un monde troublé, et l’énergie forgée cette nuit-là par Steve Zodiac (guitare) Joe Clancy (batterie) et Roly Bailey (basse) avec une foule brillante a été capturée pour un double album live de 2021 sur SPV/Steamhammer.
Nous vous présentons l’expérience live de Vardis sur disque pour la première fois depuis 1980 : ‘100 M.P.H.@100 Club’, « GARANTIE PAS DE SURDUBS » !
VARDIS a été forgé à partir de Glam, Punk, Heavy Metal, Blues et Rock’n’Roll dans le creuset du nord de l’Angleterre des années 70.
Ils sont le produit de la musique rock sur trois générations : inspirés par les grands Rock’n’Rollers et les bluesmen électriques des années 50 et 60, ils ont appris leur métier sur les circuits Hard Rock et Punk dans les années 70, avant de signer avec Logo/RCA en 1979 et de se faire connaître dans les années 80 en tant que membre de la New Wave of British Heavy Metal.
Leur attaque musicale féroce a directement influencé le développement du thrash et du speed metal à travers l’Amérique du Nord et l’Europe, cité par des géants du métal tels que Metallica et Megadeth.
Ne perdant jamais de vue les sensibilités mélodiques de leurs premières influences, le groove heavy unique de Vardis a perduré comme étant vraiment original.
En 1980, le groupe sort son premier album, 100 M.P.H., entièrement live
On n’a plus entendu parler du groupe pendant près de trois décennies, malgré la sortie de deux albums de compilation : » The Best Of Vardis » (1997) et le double CD » The World`s Gone Mad : The Best Of Vardis » (2002).
En 2014, Zodiac a été sorti de sa retraite sur les médias sociaux par les anciens et les nouveaux fans qui avaient découvert l’héritage de Vardis.
Vardis a fait une tournée en Europe et a sorti son cinquième album » Red Eye » en 2016 sur SPV/Steamhammer, consolidant ainsi l’un des retours les plus improbables du rock. V
ardis n’a rien perdu de son côté imprévisible, et 2019 a vu une apparition triomphale à l’O2 Academy de Leicester aux côtés des légendes anglaises du grindcore Napalm Death qui en a surpris plus d’un, prouvant une fois de plus que leur marque spéciale de Rock’n’Roll transcende à la fois le genre et le temps.
Stay Tuned
@Doc Olivier