Nous étions 35 (j’ai compté) dans toute la salle lorsque le quatuor anglais de Birmingham Lovebreakers a commencé son set à 18h45 et malheureusement guère plus à la fin du set.
J’ai pourtant bien aimé ce jeune groupe qui a sorti un premier album l’année dernière. Le style de Lovebreakers c’est un Punk Rock / Power Pop ultra conventionnel mais bien foutu.
Perso j’ai largement préféré ce premier groupe au trio suivant venu de l’île de Wight, Grade 2.
Cette fois on était en présence d’un Punk bas du front qui passait par une oreille pour en ressortir aussi vite par l’autre. C’était plus énergique sur scène que Lovebreakers donc meilleur pour chauffer le maigre public je le reconnais mais musicalement c’était moins intéressant.
Ca ne m’a pas donné envie d’écouter leur album “Graveyard Island”. Enfin Social Distortion est monté sur scène vers 20h45 pour un set correct mais loin d’être fantastique. Ca manquait de mordant !
Le vieux groupe californien qui est là depuis 1978 montre des signes de faiblesse, et je parle bien entendu de Mike Ness, les autres membres n’étant là que depuis environ 10/15/20 ans.
D’ailleurs Mike avait demandé de baisser la climatisation pendant son concert pour protéger sa voix du coup il a fait un peu chaud.
Bon le concert a été bien quand-même, le groupe a joué 19 titres bien répartis entres les différents albums du groupe, “Hard Times And Nursery Rhymes”, “Social Distortion”, Somewhere Between Heaven And Hell”, White Light White Heat White Trash”, etc…
A noter la reprise de Chris Isaak en milieu de set “Wicked Game” et puis le rappel de 4 titres s’est terminé sur “Ring Of Fire” de June Carter/Merle Kilgore…
Au final un bon concert devant une salle moyennement remplie mais j’ai de meilleurs souvenirs du groupe.
@Jerome