👉 [Chronique] – John Diva and the Rockets Of Love – The Big Easy (2023) by Dark Métal.

4.7
(230)
1. California Rhapsody
2. The Big Easy
3. God Made Radio
4. Runway Train
5. Thunder
6. Believe
7. Back In The Days
8. Hit And Run
9. Boys Don’t Play With Dolls
10. The Limit Is The Sky
11. Capri Style
12. Wild At Heart
 
FORMATION:
J.j. Love: Guitares
John Diva: Chant
Lee Stingray: Batterie
Remmie Martin: Basse
Snake Rocket: Guitares

Label: Steamhammer/SPV

3ème album pour JOHN DIVA and THE ROCKETS OF LOVE sous le signe du revival glam/FM des années 80, nous proposant 12 titres festifs tentant de faire revivre l’âge d’or du « Hair Metal » :
Cette nouvelle génération est-elle au niveau de ses illustres précurseurs ?

The Wings of love, Wig Wam, Kissin Dynamite, The Darkness, Steel Panther, etc. ont essayé avec plus ou moins de réussite, aucun n’ayant trouvé la formule magique des Bon Jovi, Poison, Ratt, Quiet Riot, Dokken, Motley Crue, Faster Pussy Cat…Alors JOHN DIVA a-t-il trouvé cette fameuse potion magique ?

Passons donc en revue quelques titres de ce nouvel album :

« California Rhapsody » Intro clin d’œil à DLR et son California Girls, la maestria en moins.
« Runaway Train » un mid-tempo montant crescendo lorgnant sur Bon Jovi ; titre agréable qui devrait bien fonctionner en Live.
« Thunder » plus « heavy » et assez plaisant nous ramenant à l’influence Def Leppard par moment.
« Believe » Titre à tendance FM au refrain accrocheur.
« Hit and run » La balade de l’album plutôt réussi, le chant y étant assez émouvant et le solo inspiré.
« Boys Don’t Play With Dolls » morceau assez enjoué agrémenté de cuivre avec un refrain entêtant faisant penser à Poison ; ce titre plaira fortement aux amateurs de « Hair Metal ».
« Wild At Heart » ce titre clos cet album. Il est assez minimaliste sur fond de batterie aux accents tribaux, et le chant en avant faisant légèrement penser à U2 dans l’approche musicale.

Finalement « The Big Easy » est un album qui n’est pas dépourvu de qualité. « Runaway Train », « Hit and Run », « Boys don’t play with dolls » et « Believe » sont de bonnes compositions faisant illusions.

L’album est assez varié et les musiciens semblent s’amuser mais l’originalité est partiellement absente pour prétendre toucher un plus vaste public hormis les afficionados et les nostalgiques de « Hair Metal » des 80’s.

@Dark Métal





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