Grant Haua est un artiste talentueux de la musique folk et country qui gagne rapidement en popularité grâce à son style unique et à ses performances captivantes. Originaire de Nouvelle-Zélande, Grant Haua est un auteur-compositeur-interprète qui séduit les auditeurs avec sa voix chaleureuse, ses paroles sincères et sa capacité à raconter des histoires à travers sa musique.
Ses chansons sont empreintes d’une sincérité poignante et abordent des thèmes universels tels que l’amour, les défis de la vie et les moments de joie et de tristesse.
Sa voix riche et expressive captive l’auditoire, transportant les émotions de ses chansons avec une puissance indéniable. Son jeu de guitare habile et son sens du rythme ajoutent une dimension supplémentaire à sa musique, créant une ambiance intime et immersive.
Au fur et à mesure que Grant Haua continue de faire sa marque dans l’industrie musicale, il bénéficie d’une reconnaissance croissante et d’un succès grandissant.
Ses albums, tels que « Awa Blues » et « Ora Blues At The Chapel », ont été salués par la critique et ont attiré l’attention des auditeurs du monde entier.
Ses performances scéniques énergiques et captivantes lui ont valu une base de fans loyale et dévouée. En plus de sa carrière musicale florissante, Grant Haua est également un fervent défenseur de la protection de l’environnement.
En cette année de Coupe du Monde de rugby, Grant Haua a voulu « marquer le coup » avec une « pochette » faisant le lien entre tous ces mondes. Avec un manche de guitare d’un côté et le tirage de langue et les yeux exorbités de l’autre, que l’on retrouve systématiquement dans le fameux Hakka que nous gratifient les All Blacks avant chaque match.
Haka qui trouve son origine dans la culture Maori dont est issu Grant Haua.
Cet album se rapproche de ses standards habituels mais sous une forme plus électrifiée.
Qu’il s’agisse de chanter l’amour (« Jealousy », « To Be Loved »), le respect des grands noms (« Billie Holiday », « Bad Mofo », une ébouriffante reprise de « My Time Of Dying » de Blind Willie Johnson que Led Zeppelin avait déjà magnifié), les douleurs quotidiennes de l’âme et/ou du corps (« Aches », « Blame It On Monday ») ou tout simplement la recherche des choses simples (« Good Stuff »).
Bref, tout ce qui fait l’alchimie d’un album magnifique et qui confirme que Grant Haua fait définitivement partie de ces artistes qui ont ce « petit truc en plus » qui n’appartient qu’aux plus grands.
Stay Tuned
@Doc Olivier