Dans le paysage dynamique du rock classique, le groupe Revolution Saints se distingue par sa constellation de musiciens légendaires. Chacun apporte une histoire riche en performances et en créations mémorables.
Au centre de ce tourbillon musical, nous trouvons Deen Castronovo, dont le nom résonne avec les échos de Journey, l’un des groupes emblématiques des années 80.
Avec ses prouesses vocales qui rappellent celles de Steve Perry et ses compétences exceptionnelles à la batterie, Castronovo semble prédestiné à poursuivre l’héritage de cette ère dorée du rock.
Aux côtés de Castronovo, se tient Jeff Pilson, un bassiste dont le curriculum vitae est aussi impressionnant que varié. Sa réputation s’est solidifiée au cours de ses années avec Foreigner, l’un des groupes les plus vénérés de la scène rock.
Avant cela, Pilson avait hurlé avec Dokken, un acte définissant du métal des années 80, où son jeu puissant de basse et ses harmonies vocales contribuaient à l’ambiance dramatique et puissante du groupe.
Complétant ce trio avec une finesse de six cordes est Joel Hoekstra, une force tranquille dont les riffs de guitare et solos lyriques ont défini son temps avec Whitesnake. Cet exploit en soi suffit à illustrer son talent, mais Hoekstra a aussi laissé une marque indélébile avec Night Ranger, un autre grand nom du rock mélodique.
Leur collaboration en tant que Revolution Saints est plus qu’un simple regroupement de musiciens dotés de compétences individuelles remarquables.
C’est une fusion de décennies d’expérience, de passion et d’énergie créatrice. Leur musique n’est pas seulement un hommage à l’âge d’or du rock qu’ils ont aidé à forger, mais c’est aussi une évolution contemporaine de ce son classique, injectant à la fois nostalgie et nouveauté dans le cœur de leurs fans.
Comme toujours avec les disques de Revolution Saints, il n’y a pas de creux ni de mauvaises chansons. Ils maîtrisent totalement ce qu’ils veulent réaliser.
Ils appellent ça Revolution Saints MK II parce que le groupe est né de nouveau avec ce personnel pour la sortie de l’année dernière et clairement ils ne sont pas intéressés par l’herbe qui pousse sous eux, car voici la suite moins de 12 mois plus tard.
Jusqu’à la fin et “No Turning Back”, “Against The Winds” conserve son ambiance et à bien des égards, sa force est aussi sa légère faiblesse car elle est polie jusqu’à un pouce de sa durée de vie, sans aspérités ni aspérités. danger.
Tout est magnifiquement mis en place, les harmonies, les riffs, les rythmes sonnent énormes et les touches du quatrième membre non officiel mais vital et musicien en tournée Alessandro Del Vecchio ajoutent une véritable profondeur et un éclat.
L’album est certainement rock et des morceaux comme « Changing My Mind », « Lost in Damnation » et « Been Said and Done » sont fabriqués à la main pour les arènes et la radio.
L’album a quelques ballades comme « Can’t End It Right Now », mais même cela a une ténacité et un groove qui le distinguent d’un million d’autres morceaux plus lents.
“Will I See You Again” et le sauvage “Save All That Remains” sont deux points forts d’un album rempli de grands moments.
Sans aucun doute, chaque album de Revolution Saints est un chef-d’œuvre, un véritable trésor pour les passionnés d’AOR du monde entier ! Il incarne exactement ce que le groupe envisageait : une création qui vient directement du cœur, palpitante d’émotion et d’énergie.
C’est plus que de la musique, c’est un cri de ralliement passionné pour ceux qui vivent et respirent l’essence du rock. Chaque note résonne avec la passion intense que le groupe met dans son art !
La note du Doc: 15/20.
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Doc Olivier