[Chronique] – Stryper « When We Were Kings » (2024)  par Dark Métal.

4.9
(103)
1. End Of Days
2. Unforgivable
3. When We Were Kings
4. Betrayed By Love
5. Loves Symphony
6. Trinity
7. Rhyme Of Time
8. Raptured
9. Grateful
10. Divided By Design
11. Imperfect World

📍 Douzième album studio pour STRYPER publié par Frontiers Music Srl et son superbe Artwork émanant de notre éminent Stan W Decker.

Groupe légendaire du Metal US des années 80 et chef de file du White Metal, STRYPER repart en croisade distiller la sainte parole pour fêter dignement ses 40 ans de carrière.

Quid de ce nouvel Album !

« End of Days » Ouvre le bal avec ce titre agressif agrémenté de superbes chœurs, le solo est magistral, ça démarre fort.

« When we were Kings » Tempo medium pour ce titre aux accents “heavy” sur les couplets et plus mélodique sur des refrains mémorables. Oz nous gratifiant d’un solo bien senti.

« Betrayed by love » balade en trompe l’œil, sublimée par la voix d’un Michael, touché par la grâce des anges.

« Loves Symphony » De beaux arrangements, des mélodies soignées, des chœurs à l’unisson permettant à M.Sweet de se mettre une nouvelle fois en valeur et de démontrer qu’il est certainement l’un des meilleurs vocalistes de son époque.

« Trinity » Très bon titre bien en phase avec son époque, puissant et moderne, la rythmique lancinante soutenant un refrain plus syncopé. J’espère entendre ce titre en live qui devrait prendre de l’ampleur.

« Rythme of Time » une balade de bonne facture, des musiciens au diapason d’arrangements harmoniques et de chœurs toujours agréables.

« Grateful » Titre plus « FM » suivant une belle trame mélodique sous l’impulsion d’une basse/batterie un tantinet Groovy, un titre qui devrait cartonner en Radio.

L’album est globalement de bon niveau et bien produit, proposant une approche plus moderne sans renier son glorieux passé.

« When We Were Kings » démontre que ce groupe a encore de l’énergie à revendre et que les 3 membres historiques sont toujours à la hauteur.

Michael Sweet en profite pour se montrer impérial, « si les voix du seigneur sont impénétrables », celle de Michael reste imperméable au temps qui passe !

Les fans des albums “Soldiers Under Command » et « To hell with the Devil » ne seront donc pas déçu par cette nouvelle offrande de qualité.

Il manque juste à cet opus, quelques titres du calibre de « Free » ou « Calling on you » provenant du flamboyant album « To Hell with the Devil » sans oublier la balade « First Love » de l’excellent « Soldiers Under Command » que je recommande chaudement dans son intégralité.

Que de chemin parcouru en 40 ans de métier et ce premier passage en France à la Locomotive de Paris le 7 juin 1987.


Dark Métal


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