🔴 [Chronique] – Epica – Aspiral (2025) par Le Doc.🔴

Le groupe néerlandais de metal symphonique Epica s’apprête à dévoiler son neuvième album studio, Aspiral, prévu pour le 11 avril 2025 sous le label Nuclear Blast.

Cet opus marque une nouvelle étape dans la carrière du groupe, explorant des territoires musicaux inédits tout en restant fidèle à son essence.

Aspiral se distingue par l’absence d’une introduction orchestrale traditionnelle, une première dans la discographie d’Epica.

Cette décision audacieuse reflète la volonté du groupe de se réinventer et d’offrir une expérience auditive renouvelée à ses fans. De plus, l’album se clôture avec la ballade éponyme « Aspiral », une démarche inhabituelle qui souligne la diversité émotionnelle de l’œuvre.

Les adeptes de longue date seront ravis de retrouver la suite conceptuelle « A New Age Dawns », avec trois nouveaux chapitres intégrés à l’album :

• « Darkness Dies in Light » (Partie VII) : Ce morceau, le plus long de l’album, offre une expérience sonore immersive, mêlant chœurs envoûtants et riffs incisifs.
• « Metanoia » (Partie VIII) : Introduit par des orchestrations majestueuses, le titre évolue vers une fusion harmonieuse de mélodies et de puissance métallique.
• « The Grand Saga of Existence » (Partie IX) : Ce morceau final de la trilogie se distingue par une ambiance presque folklorique, témoignant de la capacité d’Epica à intégrer diverses influences musicales.

L’album présente des titres aux durées relativement courtes pour le groupe, une approche qui confère une intensité et une immédiateté accrues aux morceaux.

Par exemple, « Cross the Divide » et « T.I.M.E. » illustrent cette volonté de proposer des compositions directes sans sacrifier la richesse orchestrale caractéristique d’Epica.

La production de Aspiral est geniale pour sa clarté et sa capacité à équilibrer les éléments symphoniques et métalliques.

Simone Simons, livre une performance vocale exceptionnelle, apportant une profondeur émotionnelle à des morceaux tels que « Obsidian Heart » et la ballade finale « Aspiral ».

Avec Aspiral, Epica démontre une fois de plus sa maîtrise du metal symphonique en explorant de nouvelles directions tout en honorant son héritage musical.

Cet album s’annonce comme une œuvre incontournable pour les amateurs du genre, témoignant de la constante évolution artistique du groupe

Note 17/20

Stay Tuned

@Doc Olivier